Actualité

Ce qui arrive, ce qui est arrivé.

Bibliothèque Nationale

octobre 2010

J’ai remis deux nouveaux manuscrits (accompagnés de leurs brouillons) au département des manuscrits de la BnF. Il s’agit de mes deux derniers romans : Le Dernier des Romains et Le Crime du beau temps. Le « fonds Chaillou » comprend maintenant neuf titres.

A propos de Jonathamour

septembre 2010

Un jeune chercheur, Matthieu Freyheit, s’est penché sur mon premier roman à l’occasion de sa thèse sur les pirates en littérature. On peut lire son article, publié dans la revue Loxias, où il est question de mon héros, Jonathan (Jonathamour, son nom dans la flibuste) lancé à l’abordage de la vie.

Quelques images foréziennes

lundi 19 juin 2010

Un merveilleux accueil au Centre culturel de Goutelas (merci à Marie-Claude Mioche et Marc Delacroix), dans ce pays de la rêverie où j’ai passé trois jours, près de quarante ans après l’écriture du Sentiment géographique. Quelques images supplémentaires dans mon blog. On peut lire dans le Progrès une interview sur ce retour.

Retour en Forez

3 au 5 juin 2010

Je dois ce retour sur les terres de mon Sentiment géographique à Dominique Lardet, auteur de Voyages romanesques au pays d’Astrée et de Céladon (éditions J.P. Huguet) et photographe. Ce seront trois jours bien (et agréablement) remplis. Le programme  :

Dernière conférence à Nantes

4 mai 2010

Fin du cycle de mes cinq conférences à l’Université Permanente. J’y ai « pris la route » avec la littérature de voyage, plus sensible aux bas-côtés qu’à la route elle-même, quoique l’horizon fût mon fil conducteur. Merci à Noëlle Ménard et à Georges Fargeas de m’avoir accompagné durant ce périple.

On peut écouter cette conférence en téléchargement.

15 avril sur Radio Aligre

15 avril 2010

Le 15 avril à 10h, je serai l’invité de Philippe Vannini et Carole Cavallera pour parler de mon dernier livre, Le Crime du beau temps, dans l’émission « Les jeudis littéraires » de cette sympathique radio que l’on peut écouter sur FM 93.1 ou en différé pendant 15 jours sur son site Internet.

Paris-Vienne-Moscou (1910-2010)

13 avril 2010

C’est le nom d’un CD enregistré par le quatuor Aron où l’on peut entendre aux côtés de Ravel et Chostakovitch trois jeunes compositeurs, Artem Vassiliev, Kyrill Zaborov et David Chaillou. Le disque est édité par la maison autrichienne Preiser Records. On peut l’obtenir et l’écouter sur Internet et chez les distributeurs habituels tels Fnac et Virgin. Un très bel enregistrement et de très beaux accents .

Nantes : 3e et 4e conférence

9 avril 2010

Il était question du temps et de la littérature, de leurs rapports ambigus : le temps est-il écrivain (3e conférence) ? Comment des cendres du passé faire jaillir la flamme de la littérature (4e conférence) ? Mon ami, Jean-Marie Willliamson, m’a prêté sa voix pour lire certains textes. La 5e et dernière conférence, le 4 mai, parlera de la route et de la littérature de voyage.

Hommage à la BnF

19 mars 2010

Jeudi 18 mars, Bruno Racine, président de la Bibliothèque nationale, m’a fait l’honneur d’organiser une réception en remerciement du don de mes archives au département des Manuscrits. Sous les lambris du Salon d’honneur, mes amis (les amis personnels et ceux que j’ai à la Bibliothèque) ont pu écouter le jeune comédien Thibaut Corrion lire des extraits de quelques-uns de mes ouvrages. Sous vitrines, les manuscrits ennoblis par le merveilleux traitement que leur a réservé Marie-Laure Prévost, conservatrice générale. Et par la porte ouverte sur la salle des périodiques, on pouvait discerner la foule muette des livres étagée sagement jusqu’au plafond. Moments d’émotion ! Plus d’images sur mon blog-notes. Et un reportage complet, dû à la gentillesse d’un ami, visible jusqu’à la fin mai.

4 mars

4 mars 2010

C’est la date de la sortie en librairie de mon dernier roman, Le crime du beau temps , ou comment le mystère peut naître d’un ciel bleu. Il paraît dans la collection « haute enfance » (éditions Gallimard). Ci-contre un aperçu de la couverture.

Le style à Nantes

2 mars 2010

Deuxième conférence devant l’auditoire de l’Université permanente. Ils étaient, m’a-t-on dit, 230 à écouter mes tentatives pour définir cette notion fuyante qu’on appelle « le style ».Les prochaines conférences.

Michel Chaillou