Réédition
Domestique chez Montaigne, mon roman paru chez Gallimard en 1983, collection le Chemin, sera réédité en janvier 2010 dans la collection de poche « l’Imaginaire » où figure déjà Le sentiment géographique.
Ce qui arrive, ce qui est arrivé.
Domestique chez Montaigne, mon roman paru chez Gallimard en 1983, collection le Chemin, sera réédité en janvier 2010 dans la collection de poche « l’Imaginaire » où figure déjà Le sentiment géographique.
Une réimpression, dans la belle collection « L’imaginaire » Gallimard, de ce roman obscur de ma jeunesse, du temps où, homme de ménage, je vaquais au château des Essais, auprès de mon maître évasif, Montaigne. (Plus d’infos sur le livre et le dossier de presse.)
Jean-Didier Wagneur de la Direction des collections, Marie-Laure Prévost conservateur en chef à la Direction des manuscrits m’ont longuement interrogé sur mon travail, la genèse de mes livres, mon parcours depuis mon premier roman, Jonathamour, mes improvisations sur France-Culture, etc. Ce document sera disponible en salle de lecture.
Interrogé amicalement par Jean-Didier Wagneur, j’ai conversé avec le public dans le cadre des « rendez-vous du samedi », tentant de reconstituer l’élaboration de chacun de mes livres, ce que j’entends par « littérature », par lire, écrire, imaginer. Cette initiative de la BnF me semble extrêmement riche, autant pour l’auteur invité que pour les lecteurs qui prennent le temps de venir l’écouter. (lire la présentation de J.-D Wagneur)
Ouverture de cette charmante librairie au cœur du vieux Saumur. Ses fondateurs et propriétaires sont une jeune poétesse, Albane Gellé, animatrice de l’association Littérature & Poétique, et Patrick Cahuzac,
Le 4 février 2009, sortie en librairie de mon prochain roman publié chez Fayard. Son titre : Le dernier des Romains.
Vient de paraître un ouvrage des éditions Alexandrines Balades en Loire-Atlantique dont j’ai écrit la préface.
Deux jours de bruine, des échanges, de l’amitié, à l’ombre du grand Barbey.
Aujourd’hui, don du manuscrit de Virginité et de ses brouillons au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale . Je l’ai remis entre les mains de Marie-Laure Prévost, conservatrice générale. Un moment émouvant.
C’était une conversation, presque à bâtons rompus, animée par Thierry Guidet directeur de la revue nantaise Place Publique. Nous avons tous aimé, nous aimons toujours cette oeuvre si riche mais chacun à sa manière. La mienne ? Peut-être moins enthousiaste qu’il y a trente ans mais je suis toujours fasciné par cette rhétorique du désert où le lieu supplante la présence de l’homme. Du moins est-ce l’ impression que je retire de ma dernière et passagère lecture. (Lire l’intégralité du débat et une vingtaine de minutes de la vidéo)
Séance solennelle au cours de laquelle j’ai reçu officiellement le Grand prix de Littérature pour l’ensemble de mon oeuvre, avec une soixantaine d’autres lauréats. L’annonce était faite par Pierre Nora, devant
Des dédicaces, du soleil et du foie gras
Le lendemain de la conférence, causerie devant plusieurs classes de lycéens, en amphi. Retour à mon ancien métier d’enseignant, devant des élèves très sympathiques.
Après la signature à la librairie Coiffard une rencontre animée par Jean-Yves Paumier, le chancelier de l’Académie de Bretagne, m’a permis d’expliciter certains passages de mon dernier livre d’entretiens, l’Ecoute intérieure.