Sur La France fugitive, 1998
Michel Chaillou : La France fugitive – Vidéo Ina.fr
En voiture dans la campagne française, Olivier BARROT parle du livre de Michel CHAILLOU « La France …
En voiture dans la campagne française, Olivier BARROT parle du livre de Michel CHAILLOU « La France …
Michel Chaillou, les voix de l’écriture.
L’introduction de Sylvie Gouttebaron
« C’est avec sa femme, Michèle, que la Mel a souhaité saluer Michel Chaillou, pour entendre et voir encore celui qui a su se singulariser tout en réunissant ses pairs, par sa « geste », vive et généreuse pour la littérature, lui qui entendait «dévergonder le savoir » et écrire « un récit illettré à force de culture ». À travers les multiples facettes de son travail, porté
Michel Chaillou (1930-2013) et les poètes contemporains français
La BU d’Arras vous propose de redécouvrir les oeuvres de Michel Chaillou (1930-2013) ainsi que la collection qu’il a dirigée chez Hatier. C’est aussi l’occasion de mettre en avant nos poètes contemporains qui furent pour certains des amis proches
Grâce à la traduction de Chiara Rolla, professeur à l’Université de Gênes (Dipartimento di Lingue e culture moderne), Michel Chaillou a maintenant une page sur l’Encyclopédie italienne en ligne. Cette universitaire et traductrice, membre de l’Atelier de recherches génois sur les écritures contemporaines (Argec), est une des plus fines
La réédition en format poche de ce premier livre de la collection « Brèves Littérature » augmentée d’une préface et d’une postface inédites.
AVIS AU LECTEUR
Il s’agit là de l’un de mes premiers écrits. J’avais trente ans, je sortais d’Algérie, de la guerre. J’enseignais comme prof de lettres dans un modeste bahut de province, à Montmorillon, dans la Vienne. J’avais loué pour l’année une maison au bord de la Gartempe, la rivière raisonnable qui divise cette pittoresque sous-préfecture. Je disposais d’un étage, car le deuxième sous les toits avait été condamné, sans doute réservé aux fantômes par mon inquiétante propriétaire, la veuve toujours en habits noirs d’un magistrat militaire qui espionnait ma jeunesse de toutes les fenêtres de sa villa mitoyenne. Je raconte d’ailleurs en partie tout cela dans un autre de mes romans, Le Dernier des Romains publié assez récemment.
C’était les années soixante, à l’automne,
Un conte écrit en collaboration avec le peintre Martin Jarrie qui en signe les dessins. Créé à l’occasion du Salon du livre de jeunesse de Montreuil de 1996.