En guise de post-face au colloque des 7 et 8 février 2019, Philippe Vannini évoquera Michel Chaillou dans sa prochaine émission des Jeudis littéraires, le jeudi 21 mars 2019.
Invités autour du micro : François Berquin, Pauline Bruley, Michèle Chaillou et Jean Védrines.
A écouter en direct à 10 heures sur FM 93.1. Puis après, en podcast.
Rappelons que Philippe Vannini avait bien souvent invité Michel Chaillou dans ses Jeudis littéraires, le premier entretien remontant à juillet 1986, après la publication du Rêve de Saxe. Grâce à son autorisation, quelques-uns deces enregistrements sont disponibles sur notre site via YouTube.
En 1976, après la parution du Sentiment géographiquechez Gallimard, Michel Chaillou est interviewé par l’écrivain Bernard Noël. Dans ce dialogue, retranscrit sur le site l’Atelier Bernard Noël apparaissent des thèmes importants pour comprendre l’esthétique de Michel Chaillou, son rapport à la modernité, sa conception très personnelle de l’histoire et de la géographie et surtout sa production future.
Les deux écrivains poètes étaient amis et ont tous deux collaboré régulièrement sur France Culture, dans les années 1975, à l’émission Poésie ininterrompue de Claude Royet Journoud où fut réalisé cet entretien.
En attendant les Actes, un aperçu de la rencontre des 7 et 8 février 2019
De gauche à droite, Guillaume Fau, Michèle Chaillou, Colline Faure-Poirée, Colette Lambrichs, Serge Martin pour la table ronde des éditeurs
Deux journées fort réussies où l’intérêt des interventions a fait oublier de prendre des photos. En attendant d’autres images et surtout les textes des communications qui donneront lieu à une publication, voici quelques moments du vendredi, à la Maison de la recherche. Merci aux deux organisateurs, Serge Martin (université Paris 3 Sorbonne nouvelle) et Guillaume Fau (BnF) ainsi qu’ à tous les orateurs qui ont contribué à mettre un peu de lumière dans cette Ecoute de l’obscur.
Isabelle Dangy aux côtés de Marie-Laure Prévost (présidente de séance)
Noëlle Ménard et Marie-Laure Prévost
De l’ouverture du colloque, sur le site Richelieu de la Bibliothèque nationale de France, nous n’avons pas d’images. Nous attendons les envois de ceux qui auraient eu la présence d’esprit d’en prendre. Mais c’est aussi le son qu’il faudrait pour restituer la lecture de Thibaut Corrion et le concert de la pianiste Laura Mikkola jouant, entre autres musiques, les compositions de David Chaillou.
Le programme de l’après-midi du 7 février à la Bibliothèque Nationale
Les 7 et 8 février 2019, à la BnF Richelieu et à la Maison de la recherche (Sorbonne Nouvelle), avec le partenariat de l'Académie littéraire de Bretagne.
Voici l’affiche et le programme de ce troisième colloque consacré à Michel Chaillou après celui d’Angers en 2015 et de Dunkerque en 2016. La rencontre se déroulera à Paris, sur deux jours, les 7 et 8 février 2019, et sur deux sites, la Bibliothèque nationale de France et la Maison de la recherche. Entrée libre.
Le colloque Michel Chaillou à l’écoute de l’obscurse prépare activement. D’après le témoignage de plusieurs correspondants, l’adresse donnée sur l’appel à contribution n’est plus fonctionnelle.
Le 31 mars 1979, Michel Chaillou était invité par Claude Hudelot au micro des « Samedis de France Culture » pour parler avec plusieurs autres participants d’Au bord de l’eau, un grand classique de la littérature chinoise qui venait d’être traduit par Jacques Dars.
L’émission a été rediffusée du 3 au 4 octobre 2018 dans les « Nuits de France Culture » de Philippe Garbit. Elle est toujours disponible en podcast pour qui veut entendre la voix et l’approche de ce grand et passionné lecteur qu’il était.
Dans un numéro récent de la Revue d’histoire littéraire de la France consacré aux Succès de l’édition littéraire du XVIe au XXe siècles, Le Sentiment géographique a été mis à l’honneur. Examinant les « fortune et vicissitudes de l’Astrée, « best-seller » du XVIIe siècle », Jean-Marc Châtelain de la BnF et Delphine Denis de l’Université Paris-Sorbonne ont
Le 20 avril 2006 Michel Chaillou était l’invité du lycée Clemenceau de Nantes où il fut élève le temps d’un trimestre, l’année scolaire 1945-46. L’écrivain Marie-Hélène Prouteau était parmi les enseignants qui le recevaient. Elle nous écrit aujourd’hui.
Chère Michèle Chaillou,
Je suis professeur agrégée de lettres au lycée Clemenceau de Nantes, en retraite, amie de Jean-Louis Liters. Nous avions eu l’occasion de nous rencontrer à Nantes avec Michel lors de l’invitation au lycée devant un public de lycéens enthousiastes.
Comme je suis moi-même écrivain, j’ai transcrit ce moment de grande sensibilité dans mon dernier livre, « La ville aux maisons qui penchent » « Suites nantaises », paru aux Editions La Chambre d’échos, Paris. Michel étant ainsi une figure de Nantes et par ailleurs me rappelant des souvenirs personnels car j’ai vécu dans le quartier Saint-Clément. Je joins ici ce chapitre intitulé « L’enfance de l’écrivain ».
J’en ai fait déjà plusieurs fois la lecture lors de mes rencontres littéraires.
Vous pouvez en faire l’usage qu’il vous plaira.
Bien cordialement
Marie-Hélène Prouteau
Forts de l’autorisation de l’auteur, nous nous faisons un plaisir de reproduire ce témoignage dont nous la remercions vivement.
Un colloque international organisé par la Bibliothèque nationale de France et l'Université Sorbonne nouvelle Paris 3
Ce troisième colloque consacré à Michel Chaillou, après celui d’Angers et de Dunkerque, a pour responsable Serge Martin, professeur de littérature contemporaine de langue française à l’Université Paris 3 Sorbonne nouvelle. Il compte deux autres membres dans son comité d’organisation : Guillaume Fau, conservateur au département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France et Pascal Lefranc, doctorant à l’Université Paris 3.
Il se déroulera sur deux lieux : le site Richelieu de la BnF et la Maison de la recherche de l’Université Paris 3 Sorbonne nouvelle.
Le 17 mai, Michel Chaillou était chez lui. Beaucoup d’amis, de lecteurs l’ont retrouvé dans la librairie qu’il fréquentait presque quotidiennement boulevard du Montparnasse.
Après l’ouverture de Fernando (l’interlocuteur privilégié), le poète et universitaire Serge Martin a conduit la soirée donnant la parole à Pauline Bruley, l’organisatrice du
Une soirée amicale dans la librairie favorite de Michel Chaillou pour fêter son actualité éditoriale.
Retrouvez les amis et lecteurs de Michel Chaillou pour une évocation de l’écrivain en présence de Pauline Bruley, directrice de l’ouvrage Les Voix retrouvées et du romancier Jean Védrines, l’interlocuteur de L‘Ecoute Intérieure.
Le poète et universitaire Serge Martin tiendra le micro.
Prononcée le 18 mai 1987 à La Chaux-de-Fond à l'invitation du Club 44, une importante institution culturelle de la Suisse romande.
Cette conférence retrouvée dans les archives sonores du Club 44 s’intitulait « Le roman de l’esprit : la correspondance de Madame de Charrière ». Si l’on veut y ajouter le décor et les circonstances, on peut se référer au récit qu’en fait Michel Chaillou dans son Journal à la date du 20 mai 1987 (p.52 à 55).
Aux PUR, collection Interférences. Sortie en librairie le 22 mars 2018
Les Presses Universitaires de Rennes (PUR) viennent de publier l’ensemble des textes suscités par le Colloque à l’Université d’Angers en mai 2015, Michel Chaillou une écriture en parcours. Pauline Bruley, maître de conférences en langue et littérature française et organisatrice du colloque, a orchestré les interventions des amis et lecteurs qui participaient à ce premier hommage, suivi en juin par un concert-lecture-exposition à la Bibliothèque de l’Arsenal. Cet ouvrage est placé sous le signe des